Ville de Rabat
Kasbah des Oudayas
La Kasbah des Oudayas est un ancien camp militaire fortifié et bâti au XIIe siècle. Depuis 2012, la Kasbah est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco. On y trouve notamment un des premiers palais bâti par la dynastie des Alaouites.
La Kasbah des Oudayas fut construite initialement au XIIe siècle par les Almoravides pour lutter contre les tribus berghouatas. Elle ne devient importante qu'avec les Almohades, qui en font un camp militaire, un ribat surplombant l'embouchure du fleuve Bouregreg et le nomment Mehdiya. Sous le règne des Almohade, la Kasbah servit de base aux armées marocaines partant à la conquête de l’Andalousie.
Musée Mohammed VI
Le Musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain (MMVI) est le premier musée du Maroc indépendant consacré à l'art moderne national.
Le projet, lancé par le Roi Mohammed VI, s'inscrit dans sa vocation de présenter une vitrine de l'art marocain et de faire de Rabat une ville artistique et culturelle par excellence.
Royal Golf Dar Es Salam
Tracé par Robert Trent Jones, le Royal Golf de Dar Es Salam n’est qu’à 12 minutes du Soundouss Hotel.
Son domaine s’étend sur quelque 440 hectares d’arbres, de fleurs, d’eau et de parcours appréciés des vrais connaisseurs. Au cœur d’une forêt de chênes-lièges, le Royal Golf Dar Es Salam est une merveille du genre : technicité, qualité des parcours, beauté d’un paysage sublimé….
La Tour Hassan
La tour Hassan est le minaret d’une mosquée inachevée du XIIe siècle.
La tour Hassan est construite avec une pierre de couleur rouge dans le style caractéristique des palais et édifices religieux du Maroc. À l’intérieur, pas d'escaliers typiques des minarets mais des rampes d’accès permettant au muezzin d’arriver au sommet à cheval pour l’appel à la prière.
Avec ses quatre façades sculptées dans la pierre, chacune avec une ornementation différente, la tour Hassan ressemble beaucoup au minaret de la Koutoubia, à Marrakech, ou à la Giralda de Séville, en Espagne.
Près du minaret, on peut découvrir les vestiges de la mosquée inachevée avec ses murs en ruines et près de 200 colonnes qui devaient soutenir le toit de l’édifice. Ces colonnes furent pratiquement toutes détruites lors du tremblement de terre de 1755.